THEORIE DES PONCTIONS ELLIPTIQ U ES . 21) I'inte'ret s'augmente meme par le lien si imprevu qui les rattache aux transcendaiites de I'Analyse. Nous nous bornons ici a cette indication, ne pouvant entrer dans cette.partie fort e'tendue de la the'orie des fonctions elliptiques et qui est lie"e e'troitement aux belles recherches que la Science doit a M. Liouville sur les fonc- tions numeriques. I. — Premiere methode. C'est celle qu'indique naturellemenl I'e'qiiation (') / 2 K X \ 6 I-------) = A(i — 2g cos2a? -H #2)(i — 'ħqs cos2a? -4- q'*) \ iz / X (i — 2(7B cosaa? -h q™)___ En partant en effet du de"veloppement connu I , , „. „ COS i .T -----log(i — zq COS207 -+- q1) = q cos2a?-|- qz-----— „ cosGa? , cosSo? + gr.__ + ^__H....| on aura 1 / 2 K X \ - logo I------ = const. — cos23?(<7 + a* -t- q& -+-...) 2 \ TI / ((72H-Ğ7(1 + (710 -+-...) (^3-f-<7ğ + 718 •+-...) on bien i , /2Ka?\ q cosour - loifO ------ = const. — '---------- cos 6 a? * co s 8 x On en conclut les d(5veloppements cles fbnctions de deuxieme et ( ') Voyes p. i/ji. n pent pre"sumer que I'dtude de ce mode